Après les « promenadoux » des deux semaines précédentes, Christian nous promet une sortie plus raide – 900m et sans raquettes .. Les beaux jours reviennent, ainsi que les « marmottes » sorties d’hibernation. L’effectif a ainsi tendance à augmenter et nous sommes dix sept - dont une nouvelle « recrue » Anne-Marie à qui nous souhaitons la « bienvenue au club ».
Après la longue route d’Aston (D520) le départ est donné vers 9h00 à partir du parking herbeux avant Riète – altitude 1040 m.
Le GR 10 grimpe tout de suite en lacets dans une belle forêt de hêtres et les premiers 400 m sont « avalés » en une heure – d’où une pause bienvenue auprès de la cascade.
Les premiers névés apparaissent lorsque nous sortons du bois pour atteindre le plateau situé à 1700m environ.
La neige fraiche est maintenant bien présente et assez lourde et après regroupement, nous attaquons par la crête tout en restant concentrés sur nos pas pour éviter les pièges.
Il est 11h45 lorsque nous atteignons le sommet du Massayre – 1922m- en découvrant les montagnes environnantes (Gilbert tire sa dernière photo …)
Compte tenu de l’horaire, Christian décide de descendre directement vers la cabane des Ludines que l’on aperçoit en bas et un petit groupe, amateur de « bartassage », le suit.
L’autre conduit par Jean-Claude se dirige vers la cabane (ruinée) de Pourcel pour rejoindre le vrai sentier, certes plus praticable.
Chacun s’installe à côté de la Cabane des Ludines ouverte aux randonneurs et le repas agrémenté de quelques « rasades » est pris sous le soleil printanier.
A l’heure du retour, un dernier coup d’œil et nous suivons la Jasse de la Calvière jusqu’à rattraper le GR 10 à proximité de la passerelle d’amont.
La descente parait interminable et une petite pause au bord de la cascade est appréciée par certains…
Arrivés au parking vers 16h00 et sous une température de 25° !, les premiers sont allés se rafraichir dans le ruisseau. Bientôt l’été ?..
Au QG nous nous régalons comme d’habitude avec les gâteaux préparés par Bernadette, Lisette et Annie.
Annie - qui n’a rien perdu de ses goûts pour l’enseignement -nous donne un petit cours historique sur les origines de « l’Halléluia », sans toutefois dévoiler la formule qui fût toujours restée secrète. On en est restés sur notre faim !...
Philippe
ps : Gilbert est allé retrouver son appareil photo en refaisant le chemin le lendemain.. impressionnant ce Gilbert !!
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