En ce jeudi 26 novembre, nous étions dix-huit pour nous diriger vers le barrage de Riete (Ariège), dans le but de cheminer dans la vallée du même nom en direction de la Sabine.
Arrêt à Montréal pour prendre André et à La Force pour Christine et Albertine, une petite nouvelle.
Le pain à Fanjeaux et direction l’Ariège.
Après avoir emprunté sur les derniers hectomètres un chemin fort dégradé nous pouvons passer aux choses sérieuses. | |
Au départ l’ascension dans la forêt est aisée et par la suite nous cheminons à flanc de colline avec des montées et des descentes relativement faciles. | |
Après deux heures de marche, nous arrivons sur un découvert, la vallée du Riete, et atteignons la cabane des bergers. | |
Petite pause et arrêt définitif pour certains. Le gros de la troupe poursuit la route en direction de La Sabine en empruntant le chemin des chasseurs balisés en rouge. | |
Nous atteignons un autre découvert et en raison de l’heure il est temps de manger : mais où ? | |
Chacun donnant sa petite idée et à la majorité moins une voix, on décide de manger sur place, Il faut croire que la pensée du -1 a été influente, car nous n’avons pas mangé « là » et nous sommes revenus vers la cabane des bergers où se trouvait le reste de la troupe qui avait déjà fini le repas. | |
Aussitôt finie la dernière bouchée, nous avons pris le chemin du retour : il est vrai qu’avec le magnifique temps que nous avions, on risquait de prendre un coup de soleil (vivement cet hiver qu’on se les gèle afin de pouvoir faire la sieste après le repas). | |
La descente se fit « en montant » tout aussi rapide (le coup de soleil) et nous rejoignons les voitures bien avant la tombée de la nuit. |
Nous avons fait quelques heures de marche pour un dénivelé de, euh...euh... , allez, avec le dos de la cuillère, 400 mètres : nous sommes fin prêts pour rivaliser avec nos ami(e)s randonneurs(euses) du mardi après-midi, voire du samedi après-midi…
Sur le retour une voiture a manqué l’arrêt buffet à Mercus…
Jeudi prochain où allons nous ? Je crois à la plaine Mayrevielle, faut pas abuser, il faut récupérer…