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Les sorties du jeudi en juillet et août 2010.

Notre première sortie, le 1er juillet,

a eu lieu dans la vallée d’Eyne pour atteindre le Pic d’Eyne par le Col de Nuria (dénivelé de 1200 m). Nous étions 9 pour cette première estivale. Nous sommes montés sous un beau soleil. Notre progression, en bordure du ruisseau, nous fait admirer les belles fleurs, sans pour autant ralentir notre marche. Nous atteindrons le col après avoir franchi un névé et un dernier coup de rein nous fait arriver au Pic d’Eyne.

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L’arrivée d’un nuage et d’un coup de vent a fait peur à certains, à croire qu’ils ne randonnent jamais en hiver, on a vu pire.

En redescendant nous avons retrouvé le soleil et nous avons pu faire la sieste qui n’avait pu avoir lieu au sommet

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Arrêt « aux truites » sur le chemin du retour.

La deuxième sortie, le 15 juillet,

direction l’Etang de Naguille pour un dénivelé cumulé de 1000 m environ. Petit nombre de participants : 4. Nous sommes partis dans les nuages et à notre arrivée à l’étang nous avons été reçu par un magnifique ciel bleu.

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Nous avons fait le tour de l’étang pour aller manger à la cabane. Nous avons deviné le chemin qui monte aux étangs Peyrisse, but d’une future rando, avec retour par le refuge d’En Bey en passant par la Couillade.

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Retour par le même chemin où nous avons profité de l’ombre du bois pour regagner la voiture.

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Arrêt au café d’Orlu sur le retour.

Le 22 juillet

, nous attaquons le gros morceau : Le Canigou en partant de Los Masos, dénivelé de 1800 m, distance aller-retour 26 km et d’une durée de marche effective, ce jour là, de 9 heures 30.

Nous étions 4, mais 4 personnes décidées malgré un temps incertain. Nous sommes partis, à 8 heures, sous un ciel gris pour rencontrer par la suite les nuages et une visibilité de 10 m environ. En raison de cela nous avons pris la route forestière pour atteindre le refuge des Cortales.

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En effet par le sentier d’été, la visibilité n’était pas assez bonne pour s’y risquer. Mais avant d’atteindre le refuge, les nuages ont disparus et nous avons évolué sous un joli ciel bleu.

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Nous avons mangé un morceau au refuge avant d’attaquer les derniers 600 m de dénivelé. Nous atteignons notre but à 13 heures 45 sous un ciel gris.

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Nous nous sommes fait notre petite place au milieu d’une vingtaine de personnes, et « nos yeux » nous ayant ouvert l’appétit on a poursuivi notre repas commencé au refuge.

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Par la suite ce fut alternance de quelques gouttes de pluie, vent, soleil, nuages, mais nous avons pu voir jusqu’à la mer. Il en a était de même pour notre descente jusqu’à la voiture où nous sommes arrivés à 19 heures, fourbus, mais heureux, n’est ce pas les filles (on repart). Sur le retour arrêt à VINÇA pour manger un morceau avant de regagner CARCASSONNE à 23 heures.

Le jeudi 29 juillet

, nous nous retrouvons 9 pour faire les étangs de la Gardelle, étang de Roumazet et étang de Soucarrane, pour un dénivelé de 1000 m. Nous partons une nouvelle fois dans un joli brouillard, mais une température idéale pour attaquer la montée vers les premiers étangs. Michel menait « le bal » et je fermais la marche.

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L’ascension a été un peu fatiguante pour certaines, mais le ciel bleu en arrivant aux étangs a donné du courage à tout le monde.

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Pour nous rendre à l’étang de Roumazet, nous passons un col et une longue descente nous conduit à cet étang où nous prenons notre repas, avec bien sûr le bain de notre sirène, et une petite sieste .

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Pour atteindre Soucarrane, ce fut un jeu d’enfant et nous revenons aux véhicules en passant en bordure du ruisseau de Soulcem où nous admirons de belles petites cascades.

Arrêt au café de Vicdessos où Lisette2, nous a offert les boissons, car soit disant elle nous aurait ralenti dans notre rando : même pas vu – Merci Lisette2

Le jeudi 5 août

, direction l’étang et le refuge du Fourcat, 1300 m de dénivelé en cumulé, nous ne sommes que trois.

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Nous partons comme toujours avec le brouillard et avant d’arriver à l’étang d’Izourt, la pluie fut de la partie. Nous nous sommes mis à l’abri sous le hangar de la télé-benne ...... et avons patienté trois quarts d’heure, avant de reprendre notre progression. Elle fut longue et dure, dans les nuages et avec un petit crachin.

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Le beau temps est revenu alors que nous arrivons au refuge.

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Nous nous sommes mis à l’abri dans une « calanque » de l’étang du Fourcat pour manger notre repas.

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Avant de redescendre nous avons bu un café au refuge et pris quelques photos du petit étang Fourcat.

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Contrairement à l’ascension nous marchons sous un ciel bleu et une température idéale. Comme à l’aller, nous engageons conversations avec d’autres groupes de randonneurs, ce qui nous permet de faire de magnifiques photos avec l’étang d’Izourt en contrebas.

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« L’animateur de campagne » se permet même de faire des photos de fleurs...

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... c’est le monde à l’envers.

Au niveau d’Izourt nous pouvons admirer d’où nous venons.

(photo 9-10).

La descente se fait sans difficulté majeure et nous rejoignons la voiture à 18 heures : bonne journée, car nous l’avions quitté le matin à 8 heures.

Arrêt au café de Vicdessos, nous avons dégusté la tarte aux figues d’Albertine qui en plus nous a offert les boissons .... Pas macho les mecs, merci Albertine.

Jeudi 12 août,

dernière sortie de l’été, en ce qui me concerne. Direction l’étang de Peyregrand, en partant de Bouychet. Par rapport à la dernière sortie, nous sommes toujours trois, mais nous avons changé de randonneuse : c’est Bernadette qui nous accompagne.

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La météo avait annoncé de la pluie pour la journée, et nous partons, pour une fois, ni dans le brouillard ni la tête dans les nuages.

L’ascension, dans le bois se fait sans difficulté, en bordure du ruisseau d’Escalés

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et nous atteignons le troisième pont toujours sans la pluie. Une petite halte en ce lieu, Jasse de Brouquenat d’en Bas, à la croisé des chemins de l’étang de Gnioure et de l’étang de Peyregrand, nous permet de voir les marmottes ... mais non pas celle-là.

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En poursuivant, lors de la traversée de la jasse de la Mastière, avant d’arriver à la cabane de Brouquenat d’en haut, nous constatons la présence de dizaines de petites grenouilles ainsi que de crapeaux, beaucoup plus gros. En arrivant à l’étang de Peyregrand,

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ce sont les vaches et un taureau qui nous souhaitent la bienvenue. Sur la lancée nous poursuivons jusqu’à la cabane de Peyregrand, que nous atteindrons après moultes péripéties

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et où nous trouvons un coin à l’abri, entre les rochers pour manger.

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A la fin du repas, nous avons eu les premières gouttes et elles nous ont suivies jusqu’à la voiture avec plus ou moins d’ardeur : pour la dernière rando estivale, elle a été bien arrosée. Lors de la descente, rendue délicate en raison des rochers et cailloux glissants, nous avons même rencontrer sous la pluie une vipère ...

L’arrêt « technique » c’est fait au café de TARASCON.

Bonne fin de vacances et à la rentrée ..... jeudi 9 septembre pour le Carlit, si cela dit à Marceau et à Jojo.

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