RANDO DU JEUDI 12 JANVIER 2012
Lieu |
ROCHER DE QUIE (1484 m) - Pas de commentaire ...... |
Itinéraire |
DEPART DE BARRY DU HAUT (600 m) COMMUNE DE USSAT LES BAINS |
Dénivelé |
900 M ENVIRON EN CUMULE - si on le trouve |
Accompagnateur et inscription |
MARCEAU – CHRISTIAN – avant le mercredi 17 heures |
Heure et lieu du rendez-vous |
06h50 PLACE GASTON JOURDANNE |
Covoiturage |
0 à 200 km = 11 euros / 201 à 250 km = 13 euros.251 à 300 km = 16 euros / + 300 km = tarif Mappy |
Divers |
Covoiturage : 13 euros (232 km)
Préparer la monnaie - merci.
PREVOIR TRONCONNEUSE, DEBROUSSAILLEUSES ET POT DE PEINTURE ROUGE ....... GPS PAS NECESSAIRE, MARCEAU SERA LA ....
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Tel était le message.
Nous nous sommes donc équipés. Certains avaient pris sacs de couchage et matériel de bivouac. D’autres avaient prévus allumettes et réchaud pour pouvoir faire un repas du soir bien chaud.
On avait même sollicité les copains de l’escalade, ils auraient pu grimper le long de la falaise et une fois en haut nous guider à la voix. mais ils n’étaient pas libres.
C’est que ce rocher du Quié est mal indiqué. Les balises sont rares.
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Rares à en pleurer. |
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Nous avançons péniblement dans le froid matinal, écrasés par tout le matériel emporté. Nous arrivons sans trop de difficultés à la chapelle. |
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Puis, miracle !, le cairn est en vue. |
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« Tout droit » disent certains, « A gauche » disent les fainéants qui veulent redescendre, |
« A droite » disent les inconscients, « Reculons » disent les prudents. |
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Et puis c’est l’apothéose : vue dégagée, pas de corbeaux mais des papillons, des Vulcains. |
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Nous mangeons très tôt, au chaud soleil. |
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Comme une certaine personne ne veut pas êttre sur Internet, il m’a fallu cacher son visage. Mais je ne sais plus qui. Aussi, j’ai mis tout le monde au même régime. |
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Sauf celle qui se retournait pour se cacher. |
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Après le repas, la sieste et le farniente, |
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nous entamons la descente. |
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A la jasse, nous prenons un peu de repos. Savez-vous d’où vient ce nom de « Jasse » ? C’est justement un lieu de repos (voir français « gésir »). Les bergers aménageaient des lieux abrités et ensoleillés pour le confort des troupeaux et le leur propre. D’ailleurs des vestiges sont les témoins de cet aménagement qui comportait des lits à ressorts. |
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Puis nous avons assisté, médusés, |
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à une non-représentation par le meilleur, quoique un peu cabotin, randonneur de la troupe. Observez bien sous art du contre-jour. |
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Ses prestations relèvent réellement du mythe.
De guerre lasse, nous reprenons le chemin et sommes salués par un avion. Joël ???
Puis une petite descente qui a laissé des traces et au col d’Arnave nous faisons de nouveau une halte.
Nous terminons le dernier raidillon par la tyrolienne
et arrivons aux voitures avant de rejoindre Mercus (fermé) puis Laroque d’Olmes (ouvert, gagné)
autour de gâteaux vite engloutis.
Belle journée. mais il faudra refaire cette balade, car on a oublié la peinture pour raviver le balisage défaillant.