Notre accompagnateur a décidé de nous emmener au Serembarre en partant de Montaillou. |
Nous arrivons sans encombre par une route bien dégagée. |
La place de Montaillou est encore en partie couverte de neige et de glace et certains s’en souviendront. | |
Les raquettes rapidement chaussées, la montée est sans difficulté sauf l’allure du tête de file qui nous prend tous pour des jeunots.
Au col de Balagues, nous pouvons souffler un peu. | |
Mais la véritable pause n’a lieu qu’à la cabane. | |
Le paysage est magnifique et le ciel d’un beau bleu. | |
De nouveau un bref arrêt devant un poteau indicateur | |
Puis c’est la reprise en crête vers le sommet de | |
et je peux vous dire que ce n’est pas du nougat [1]. | |
Les premiers se font prendre en photo sur le sommet déneigé. | |
Nous nous regroupons | |
avant de redescendre un peu pour trouver un lieu abrité du vent, qui, sans être très fort, n’est pas le bienvenu. |
Le repas se passe dans de bonnes conditions, ouvert par un vin à la bigarade. Je vous le recommande. |
Puis c’est la descente. | |
Notre accompagnateur fait du zèle : non content d’avoir fait la trace à la montée, il l’a faite aussi à la descente. Il a probablement été trop influencé par des rumeurs relatives au triple A. | |
Arrivés aux voitures, nous nous activons pour aller goûter chez Martine où nous sommes gâtés : | délice à l’orange, gâteau à la fleur d’oranger, pâtes à l’orange, boisson au choix... |
A ce sujet, certains ont un peu trop exagéré. Ce qui devait être vu | |
Ce qui a été vu ! |
Restons sur ce magnifique souvenir [2] et à la semaine prochaine !!